Ah, Marguerite...
[Publié dans mon précédent blog le 7 janvier 2011]
Marguerite et ses consoeurs, je veux bien sûr parler de nos amies les vaches, sont malheureusement davantage responsables du réchauffement climatique et du trou dans la couche d'ozone que le trafic routier… Et vous savez pourquoi ? Oui, vous allez me dire « tout le monde sait bien que ce sont les pets des vaches, les responsables » ; eh bien non, figurez-vous ! Enfin, j'exagère, mais disons que ce ne sont pas que les flatulences de mesdames qui sont en cause, mais bien plus leurs rots ! Dingue, hein ?!? Ben ouais, apparemment elles rotent plus qu'elles ne pètent… ;)
Rappelons au passage, pour ceux qui ne le savent pas ou l'auraient oublié, que les pets et rots des vaches émettent du méthane, gaz à effet de serre extrêmement puissant.
Je suis tombée sur une publication sur Internet d'un lambda comme vous et moi qui proposait une solution assez farfelue pour pallier à ce problème : il expliquait que l'on pouvait peut-être essayer - au même titre que la traite - de récupérer le méthane émis par les vaches, et de le mettre en cuve, tout comme le lait ! Et il ajoutait qu'en plus de réduire l'effet de serre, cela pouvait être une solution à l'épuisement des ressources de gaz naturels. Alors, c'est vrai que son idée, de prime abord, semble quelque peu saugrenue (je vous avoue avoir bien ri à la première lecture en pensant au tuyau mis dans le derrière des vaches pour aspirer leurs pets ! ;)), mais finalement… Pourquoi pas…
Et quelle ne fut pas ma surprise lorsqu'après de plus amples recherches sur le sujet, je me suis rendu compte que les scientifiques se penchaient vraiment sur le problème et étudiaient ainsi plusieurs pistes pour remédier à la situation ! Voici donc ces pistes, qui font parfois un peu peur, je dois dire : sélection génétique de vaches produisant moins de méthane, vaccination des vaches, modification de l'écosystème de leur estomac, modification de leur alimentation ou encore trouver l'inspiration dans le kangourou, qui lui, produit très peu de méthane !
Bref, un sujet très glamour, vous l'aurez remarqué, dont on n'a pas fini de parler…
Marguerite et ses consoeurs, je veux bien sûr parler de nos amies les vaches, sont malheureusement davantage responsables du réchauffement climatique et du trou dans la couche d'ozone que le trafic routier… Et vous savez pourquoi ? Oui, vous allez me dire « tout le monde sait bien que ce sont les pets des vaches, les responsables » ; eh bien non, figurez-vous ! Enfin, j'exagère, mais disons que ce ne sont pas que les flatulences de mesdames qui sont en cause, mais bien plus leurs rots ! Dingue, hein ?!? Ben ouais, apparemment elles rotent plus qu'elles ne pètent… ;)
Rappelons au passage, pour ceux qui ne le savent pas ou l'auraient oublié, que les pets et rots des vaches émettent du méthane, gaz à effet de serre extrêmement puissant.
Je suis tombée sur une publication sur Internet d'un lambda comme vous et moi qui proposait une solution assez farfelue pour pallier à ce problème : il expliquait que l'on pouvait peut-être essayer - au même titre que la traite - de récupérer le méthane émis par les vaches, et de le mettre en cuve, tout comme le lait ! Et il ajoutait qu'en plus de réduire l'effet de serre, cela pouvait être une solution à l'épuisement des ressources de gaz naturels. Alors, c'est vrai que son idée, de prime abord, semble quelque peu saugrenue (je vous avoue avoir bien ri à la première lecture en pensant au tuyau mis dans le derrière des vaches pour aspirer leurs pets ! ;)), mais finalement… Pourquoi pas…
Et quelle ne fut pas ma surprise lorsqu'après de plus amples recherches sur le sujet, je me suis rendu compte que les scientifiques se penchaient vraiment sur le problème et étudiaient ainsi plusieurs pistes pour remédier à la situation ! Voici donc ces pistes, qui font parfois un peu peur, je dois dire : sélection génétique de vaches produisant moins de méthane, vaccination des vaches, modification de l'écosystème de leur estomac, modification de leur alimentation ou encore trouver l'inspiration dans le kangourou, qui lui, produit très peu de méthane !
Bref, un sujet très glamour, vous l'aurez remarqué, dont on n'a pas fini de parler…
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| Mais vous allez me laisser digérer en « pets », oui ?!? |
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